VEAUX Bernard

1941 : Né à Culles-les-Roches

1952 : Petit séminaire de Rimont

1956 : Lycée de Chalon-sur-Saône

1959 : Etudes histoire-géo à Lyon

1964 : Séminaire des Carmes à Paris

1970 : Ordination à St-Gengoux-le-National

1971 : Paroisse de Digoin

1972 : Vicaire puis curé de Saint Cosme à Chalon

1984 : Curé de Saint-Pierre à Mâcon

1991 : Curé de Paray-le-Monial

Vicaire épiscopal

2004 : Curé de Charolles à Sainte-Madeleine

2013 : Précédemment administrateur de la paroisse de la Sainte-Famille en Nord Charolais (Génelard) au doyenné du Charolais, il est nommé curé de cette paroisse pour laquelle il aura le concours particulier du Père Marcel Rouquié. Le Père Bernard Veaux reste curé de la paroisse Sainte-Marie-Madeleine en Charolais (Charolles) au doyenné du Charolais

2016 : Reconduit pour cinq ans dans sa charge de curé de la paroisse Sainte-Marie-Madeleine en Charolais (Charolles) et de la paroisse Sainte-Famille en Nord Charolais (Génelard) au doyenné du Charolais

2021 : Curé des paroisses Sainte-Marie-Madeleine-en-Charollais à Charolles et la paroisse de la Sainte-Famille-en-Nord-Charolais à Génelard dans le doyenné du Charolais

2022 : En retraite. Il résidera à Culles-les-Roches

Je n’ai pratiquement vécu mon ministère que dans la charge de curé.

Il y a, heureusement, une grande variété de charismes et de services dans l’Eglise, y compris comme prêtre, mais je puis attester qu’être curé demeure une charge essentielle dans l’Eglise, et c’est un rôle passionnant où l’originalité de chacun peut servir et trouver à s’exprimer.

Pour que l’Eglise soit « prêtre, prophète et roi », elle a besoin de pasteurs qui la gardent dans l’unité (tâche toujours difficile… (et spécialement de nos jours), – branchée sur le Dieu de Jésus-Christ (parfois pas assez d’intériorité et un peu trop de célébrations, mais quelle joie souvent !), – passionnée de l’Evangile à découvrir et à transmettre (nécessité de trouver des mots qui vont « parler » à nos interlocuteurs… nécessité de comprendre leur propre langage, – et « les mains dans le cambouis » pour partager et changer la vie des hommes en y développant tout germe d’amour.

Cette tâche de prêtre, curé, je pense qu’aujourd’hui encore elle peut séduire des jeunes. Il y a des difficultés… mais qui n’en n’a pas ? Les formes de ministère changent, mais c’est la même chose ailleurs, et l’aventure a de la saveur ; elle fait découvrir d’autres horizons : ainsi la merveilleuse collaboration prêtres-laïcs qui s’est développée largement et qui s’enracine dans un même compagnonnage avec le Christ.

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