AUDUC André

1939 : Année de sa naissance

1965 : Ordination sacerdotale le 4 juillet à Verdun-sur-le-Doubs par Mgr Jean Hermil évêque auxiliaire

1965-1966 : Stage à Saint-Laurent du Creusot

1966-1967 : Préfet des Grands à Saint-Lazare d’Autun et professeur de religion en 2e, 1re et Terminale

1967-1971 : Aumônier scolaire à plein temps à Montceau-les-Mines rue de Gourdon

1971-1977 : En paroisse à Montceau Notre-Dame

1977-1983 : Au service diocésain des Vocations (et régional centre-est) en résidence un an à la cure Saint-Vincent de Chalon et 5 ans au Foyer Saint-Paul de Chalon

1983-1990 : Curé de Cluny et de sept, puis douze villages environnants

1990-1997 : Curé à Saint-Eugène du Creusot et 1er curé de la grande paroisse St-Joseph Ouvrier aumônier diocésain du MEJ et de l’AEP (3 ans)

1997-2002 : Curé de la grande paroisse Saint-Jean des communautés bourboniennes à Bourbon-Lancy et chargé des séminaristes du diocèse (RDFM)

2002-2008 : Curé de Givry-Mercurey et 1er curé de la grande paroisse St-Symphorien en Côte Chalonnaise  et doyen de la zone Chalonnais-Ouest

2008 : En résidence à Santilly, auxiliaire de la paroisse Saint-Louis entre Grosne et Guye

2008-2010 : Pendant trois ans, membre de l’équipe de la maison Saint-François-de-Sales à Paray-le-Monial

2012-2014 : Prêtre auxiliaire  à la paroisse Saint-Louis entre Grosne et Guye (Saint-Gengoux-le-National)

2014 : Autorisé à prendre sa retraite. Il reste disponible pour rendre des services à la Paroisse Saint-Louis entre Grosne et Guye.

Quelques convictions pastorales

– Je souhaite, et je voudrais promouvoir une Eglise tout entière ministérielle, où nous ayons besoin les uns des autres.
– Une Eglise qui appelle, suscite et encourage toutes les vocations utiles à sa vie et à sa mission.
– Une Eglise attentive au monde de ce temps, qui ne fasse pas la morale, ne ferme pas des portes, mais ouvre des chemins à tous, sans exclusive, selon l’invitation même de Jésus : « je suis venu pour que tous aient la vie en abondance ».
– Une Eglise qui crée du neuf et favorise la naissance de nouveaux ministères.
– Une Eglise solidaire des sans-voix, des exclus de la culture, de la croissance économique et du pouvoir, donnant à chacun une chance de grandir et d’être heureux.
– Une Eglise enfin, témoin du Ressuscité, qui donne à ce monde en crise beaucoup d’espérance et de joie.

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