1973 : Né au Creusot
Ecole primaire à St-Symphorien-de-Marmagne
Collège et lycée au Creusot
1992 : Entrée au séminaire du Prado à Limonest
1995-1996 : Service militaire comme gendarme auxiliaire à Le Grand Serre (26)
1999 : Ordination diaconale à Autun le 27 juin
2000 : Ordination sacerdotale à Autun le 25 juin
2011 : Entrée dans l’Ordre Franciscain Séculier le 16 octobre
1999 : Stage diaconal à Louhans
2000 : Vicaire à Louhans
2001 : Curé in solidum à Saint-Rémy
2002-2009 : Curé à Sennecey-le-Grand. Doyen du Chalonnais-Est
2007 : Nommé vicaire épiscopal pour la pastorale des jeunes et des vocations
2009 : Nommé curé à Etang-sur-Arroux, au doyenné de l’Autunois
2013 : Prêtre accompagnateur au bureau diocésain de coordination du Catéchuménat et de la Catéchèse. Il reste curé de la paroisse Sainte-Jeanne-de-Chantal (Etang-sur-Arroux) au doyenné de l’Autunois
2015 : Vicaire épiscopal pour les doyennés de I’Autunois, du Creusot et de Montceau-les-Mines
2017 : Curé de la paroisse Sainte-Jeanne de Chantal (Étang-sur-Arroux) au doyenné de l’autunois est nommé curé de la paroisse Sainte-Marie-sous-Dun (La Clayette) au doyenné du Brionnais. Il demeure vicaire épiscopal pour les doyennés de l’Autunois, du Creusot et de Montceau
Il y a une parole de la Bible qui m’a marqué dans mon adolescence: « Je te ferai guetteur sur la maison d’Israël » (Ez 33, 7). Il y a en elle l’une des sources de ma vocation.
Je crois que le prêtre est guetteur, veilleur. Guetter la présence de Dieu en notre temps et veiller sur le bien de Dieu que sont tous les visages rencontrés. J’essaye donc de vivre selon cette parole jadis reçue.
Je n’y arrive pas toujours, loin de là. Cette parole rejoint aussi mon entrée en fraternité franciscaine. Mon baptême, ma vie selon l’évangile me pousse à être attentif aux autres et respectueux de frères et sœurs différents.
Dieu sauve l’humanité toute entière. J’aime l’Eglise qui est à Autun, Chalon et Mâcon. C’est elle qui me donne la joie d’être chrétien et soutient mon ministère pour servir mes frères.
Par les mouvements et groupes que je fréquente, par les laïcs avec qui je vis, par les prêtres avec qui je travaille, par les missions reçues des évêques ; je vois l’Eglise locale belle et vivante même si je perçois que quelquefois ses enfants ne travaillent pas toujours à son unité. Mais suis-je moi-même artisan d’unité ? J’en ai en tous cas la volonté.
L’Eglise d’Autun a un passé. Dans ce passé un prêtre a éveillé ma vocation. Je termine en disant encore une fois merci au père Ernest Rosset.